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MusĂ©edes Beaux-Arts Tours: MusĂ©e des beaux-arts - consultez 337 avis de voyageurs, 896 photos, les meilleures offres et comparez les prix pour Tours, France sur Tripadvisor. Passer au contenu principal. Avis. Voyages Alertes Connectez-vous. Messages. Tout afficher. Connectez-vous pour obtenir des informations sur vos voyages et envoyer des messages Ă d'autresBlarchard est le duxiĂšme couremarĂ __-miniarn'aspruuv" sousila barr."60s420 Spjet Ultra-trail an class=","globalId"{-id""1908276","">rtsAt"bel=,"endsAt"bel=",{"$type-" h","lead""Les p/spci="l rapporbeub Ă©gal""sub-une ","eedia bel=,"picture"{"url"ile-lG"> JurtsAt"bel=,"endsAt"bel=",{"$type-" muni2ipales","lead""L'O-tab","eedia bel=,"picture"{"url"ile-lllavigl lob/rgl du s"c=euriLachine-EG"> SociĂ©reo Affaau"s muni2ipales, DĂ© iloppv"sub-dureble, Log"meub an class= iIl_Ă©sĂȘt foce=","globalId"{-id""1907629","">rtsAt"bel=,"endsAt"bel=",{"$type-" muni2ipale","lead""Chacune s'engag" Ă medli_ et pl>c_"6Ăšs"ceta","eedia bel=,"picture"{"url"ile-lG"> P/spnavig P/spnavig muni2ipale, Log"meub OttawaâGa/sneau2,"globalId"{-id""1908250","">rtsAt"bel=,"endsAt"bel="],"lineupEditor""Auto/iievig","pag"dC>1781940\n1779163","itee1 [{"$type-" fĂ©dĂ©rale","lead""La vice-premiĂšrv mibisar a notammeub Ă©reo inv-c="vĂ©g"pac"des opposarts auxcu"
LemusĂ©e national des Beaux-Arts d'Alger, est lâun des plus grands musĂ©es dâart d' Afrique. Ouvert au public depuis le 5 mai 1930, il est situĂ© dans le quartier du Hamma, du cĂŽtĂ© du jardin d'essai du Hamma . Le musĂ©e avec ses 8 000 Ćuvres regroupe des Ćuvres peintes, des dessins, gravures et estampes anciennes, des sculptures, du
Sortir En Hauts-de-France Saint-quentin Le MusĂ©e des Beaux-Arts fĂȘte les 90 ans de sa reconstruction ! Autres EvĂ©nements Divers Ă Saint-Quentin Non communiquĂ© par l'organisateur Le Dimanche 03 Juillet 2022de 13h30 Ă 18h00 Ă lâissue de la PremiĂšre Guerre mondiale, Saint-Quentin insuffle de vastes chantiers de reconstruction et dâembellissement de la citĂ© dĂ©vastĂ©e par lâoccupation allemande, les pillages et destructions liĂ©es aux bombardements aĂ©riens et aux tirs de lâartillerie alliĂ©s. Cette renaissance collective sâexprime notamment dans la conception dâun nouveau musĂ©e Antoine LĂ©cuyer, en grande partie dĂ©truit en 1917-1918. Reconstruit au mĂȘme emplacement et pensĂ© comme un vĂ©ritable Ă©crin pour accueillir Ă nouveau le prestigieux fonds dâatelier de Maurice-Quentin de La Tour, la pose de la premiĂšre pierre a lieu le 13 mai 1928. Sâensuit un vaste chantier qui aboutira Ă lâinauguration officielle dâun nouveau musĂ©e le 3 juillet 1932. Paul Bigot, Grand Prix de Rome en 1900 Ă qui lâon doit lâamĂ©nagement du quartier de la gare, et Louis Guindez, architecte municipal auteur notamment de la salle du Conseil municipal de lâHĂŽtel de Ville, nous livrent un Ă©difice dâarchitecture nĂ©o-classique inspirĂ© du siĂšcle des LumiĂšres dont Maurice-Quentin de La Tour fut le digne reprĂ©sentant. Ce 3 juillet 2022 cĂ©lĂšbre le 90Ăšme anniversaire de la reconstruction du musĂ©e, devenu aujourdâhui un lieu patrimonial et culturel de rĂ©fĂ©rence sur le plan national et international. Avec le Directeur et son Ă©quipe, nous avons souhaitĂ© fĂȘter cette renaissance artistique et humaine Ă travers un programme riche en activitĂ©s Ă destination de tous, rĂ©vĂ©lant la vitalitĂ© de notre musĂ©e. Revivez, le temps dâune aprĂšs-midi, la rĂ©ouverture du musĂ©e en 1932 autour dâun instant convivial, festif, artistique et scientifique ! Ă partir de 13h30, le musĂ©e des Beaux-Arts Antoine LĂ©cuyer vous ouvre ses portes jusquâĂ 18h et vous donne rendez-vous dans le jardin et dans les salles dâexposition pour fĂȘter ses 90 ans ! Toutes les activitĂ©s sont libres, gratuites et sans rĂ©servation prĂ©alable. Dans la cour dâhonneur du musĂ©e pour le lancement des festivitĂ©s et la prĂ©sentation du nouveau programme culturel. Dans un souci de sauvegarde et de valorisation de son patrimoine, le musĂ©e des Beaux-Arts sâattache chaque annĂ©e Ă restaurer ses collections, veillant ainsi Ă lâintĂ©gritĂ©, la conservation et lâĂ©tat sanitaire des Ćuvres. Devenez un ambassadeur du musĂ©e en participant Ă la tombola organisĂ©e spĂ©cialement pour lâoccasion et en vue du projet de restauration de pastels du fonds dâatelier de Maurice-Quentin de La Tour. De nombreux lots Ă gagner âą Le fac-similĂ© du buste sculptĂ© de Maurice-Quentin de La Tour par Jean-Baptiste Lemoyne âą Une boite de pastels Henri RochĂ© de La Maison du Pastel âą Un portrait de Maurice-Quentin de la Tour rĂ©alisĂ© par lâartiste Claude Lannoy âą Deux coffrets de coupes de champagne Ă lâeffigie du musĂ©e et de son 90Ăšme anniversaire âą Deux tote bag comprenant chacun une gourde isotherme, un mug, un carnet de notes, un stylo 4 couleurs, un tour de cou, une rĂšgle, une clef USB et deux entrĂ©es gratuites au musĂ©e âą Un lot de quatre ouvrages Les Armes de la SĂ©duction. Accessoires de mode et de beautĂ© au siĂšcle des LumiĂšres », Alfred Janniot. Monumental », Le voleur dâĂąme » et Maurice-Quentin de La Tour. Prince des pastellistes ». Ticket Ă 5 euros Ă retirer auprĂšs du stand de la SociĂ©tĂ© des Amis du MusĂ©e Les expositions Ă la cour du roi Louis XV, le 3 juillet 2022 Le jardin du musĂ©e se peuple dâhommes et de femmes des LumiĂšres. Revivez une immersion dans la cour du roi Ă travers la reconstitution de personnages fictifs inspirĂ©s de la brillante sociĂ©tĂ© du XVIIIe siĂšcle. Ponctuations théùtrales de 14h Ă 18h Afin de dĂ©marrer cet anniversaire sous les meilleurs auspices, les jardins et les murs du musĂ©e des Beaux-Arts seront sublimĂ©s par les interventions plastiques de lâĂcole des Frasques. Ainsi, les spectateurs seront invitĂ©s Ă participer aux masterclass dâun caricaturiste au pastel, dâune sculptrice sur kraft, dâune tisseuse de corps, dâune emballeuse de moments et mĂȘme dâun souffleur de fumĂ©es. Des performances dĂ©calĂ©es et impromptues signĂ©es Les Anthropologues. Jazz Magic 14h30 Ă lâoccasion des 90 ans du musĂ©e, JAZZ MAGIC, lâorchestre emblĂ©matique des annĂ©es 1920 et 1930, vous enchantera en vous replongeant au cĆur de lâambiance folle du charleston, du Cotton club et de Broadway, pour un concert hors du temps. La fiĂšvre des AnnĂ©es folles de 14h Ă 18h Créé aux Ătats-Unis dans les annĂ©es 1920, le Charleston connait un succĂšs considĂ©rable en France, dĂšs 1925, avec la Revue nĂšgre et JosĂ©phine Baker qui le danse dans les principaux lieux de spectacle de lâĂ©poque. Les Ă©lĂšves du Studio de danse dâEstelle Pruvot vous proposent des dĂ©monstrations de cette danse au style dynamique et spectaculaire. Revivez la fiĂšvre des annĂ©es 1920 - 1930 ! Ă vos crayons de 13h30 Ă 18h Ă lâoccasion de son anniversaire, le musĂ©e a créé spĂ©cialement une table dâexpression Ă partir de laquelle vous pourrez venir vous exprimer librement. Lâoccasion pour les plus petits comme pour les plus grands de marquer son passage au musĂ©e par un dessin ou un message inspirĂ© du lieu et des collections. Laissez parler votre crĂ©ativitĂ©. Ă vos crayons ! La Maison du Pastel de 14h30 Ă 18h Lionel CORNU, artiste pastelliste Saint-Quentinois, animera un atelier dâinitiation et de dĂ©monstration de la technique du pastel Ă destination des enfants et des adultes. Tentez cette expĂ©rience artistique et devenez un vĂ©ritable expert en la matiĂšre ! Pastelliste en Herbe 14h30 Ă 17h30 Lionel CORNU, artiste pastelliste Saint-Quentinois, animera un atelier dâinitiation et de dĂ©monstration de la technique du pastel Ă destination des enfants et des adultes. Tentez cette expĂ©rience artistique et devenez un vĂ©ritable expert en la matiĂšre ! Laissez vous conter le musĂ©e de 14h30 Ă 18h En partenariat avec la SociĂ©tĂ© des Amis du musĂ©e et lâĂ©quipe des guides confĂ©renciers du patrimoine, voyagez Ă travers les collections permanentes du musĂ©e, du XVIIIe siĂšcle Ă nos jours. Les pastels, une aventure humaine et artistique de 14H30 Ă 18h Replongez dans lâexceptionnel fonds dâatelier de Maurice-Quentin de La Tour et dans lâhistoire de cette technique, de son Ăąge dâor au XVIIIe siĂšcle jusquâaux audaces des artistes des XIXe et XXe siĂšcles. Alfred Janniot, gĂ©nie de l'Art DĂ©co Ă partir de 15h Comptant parmi les chefs de file de lâArt dĂ©co, Alfred Janniot est lâun des grands sculpteurs de la gĂ©nĂ©ration des artistes figuratifs de lâEntre-deux guerres. Partez Ă la rencontre de son Ćuvre, de lâatelier au monumental. De la tradition acadĂ©mique Ă la modernitĂ© de l'Art DĂ©co Ă partir de 16h Voyagez Ă travers les plus beaux chefs-dâĆuvre des annĂ©es 1850-1945 lors dâune visite qui vous emmĂšne de lâesthĂ©tique acadĂ©mique Ă lâart de la PremiĂšre Reconstruction en passant par celui de la Grande Guerre. D'hier Ă aujourd'hui histoire et architecture Ă partir de 17h DĂ©couvrez lâincroyable histoire du musĂ©e des Beaux-Arts et son architecture, de sa naissance Ă sa reconstruction en passant par sa destruction. Une invitation Ă parcourir le temps, du passĂ© Ă lâavenir. Source des donnĂ©es DATATourisme Autres idĂ©es sorties prĂšs de Saint-Quentin Saint-Quentin Saint-Quentin / est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de l'Aisne, en rĂ©gion Hauts-de-France. Comptant la plus importante population du dĂ©partement, dont elle est une sous-prĂ©fecture, Saint-Quentin est la neuviĂšme commune la plus peuplĂ©e de la rĂ©gion. La ville picarde est situĂ©e sur la Somme. Les habitants de Saint-Quentin sont les Saint-Quentinois. source wikipedia
MUSĂECANTONAL DES BEAUX-ARTS A LUSANNE Dossier de presse MatiĂšres en lumiĂšre. Sculptures de Rodin Ă Louise Bourgeois 12.2 â 16.5.2021 Sommaire 1. CommuniquĂ© de presse 2. Exposition 3. Images de presse 4. Commentaires de 6 Ćuvres prĂ©sentĂ©es dans l'exposition 5. MĂ©diation â Service aux publics 6. Librairie-Boutique et CafĂ©-Restaurant Le Nabi 7.MusĂ©e des Beaux-Arts de Tours - Ancien archevĂȘchĂ©. dĂ©partement Indre-et-Loire DerniĂšre visite du musĂ©e de Tours en dĂ©cembre 2015. catalogue disponible au musĂ©e En 1794 et 1795, les premiers convois apportant le butin de Bonaparte contenaient des tableaux flamands prĂ©levĂ©s en Belgique. Suivant l'armĂ©e d'Italie, une commission sĂ©lectionne les oeuvres d'art qui doivent ĂȘtre remises Ă la France par les Etats vaincus Etat pontifical. Le Conseil des Cinq-Cents dĂ©cida en 1798 que le Louvre ne pouvant exposer toutes ses peintures, et paris "garder seul les trĂ©sors conquis sur les ennemis de la RĂ©publique", les grandes villes tecevraient des oeuvres d'art pour dĂ©velopper le goĂ»t et le talent des Ă©lĂšves. Par le dĂ©cret du 14 fructidor an VIII 1er septembre 1800 15 dĂ©pĂŽts furent dĂ©signĂ©s, et une commission fut nommĂ©e pour une rĂ©partition au bĂ©nĂ©fice de Lyon, Bordeaux, Strasbourg, Marseille, Rouen, Nantes, Dijon, Toulouse, Caen, Lille, Rennes, Nancy, et Bruxelles, GenĂšve, Mayence. Les envois se poursuivirent pendant le Premier Empire. La distribution Ă©talĂ©e sur une dizaine dâannĂ©es permit aussi lâenrichissement des musĂ©es de 5 autres villes Angers, Tours, Le Mans, Montpellier, Grenoble. Le gĂ©nĂ©ral François-RenĂ© de Pommereul, nommĂ© prĂ©fet d'Indre-et-Loire en 1800, eut une influence considĂ©rable sur le dĂ©veloppement du musĂ©e. En 1801, il obtint le dĂ©pĂŽt de 5 oeuvres d'importance inĂ©gale, puis il en rĂ©clama d'autres. L'architecture du bĂątiment conserve les traces d'Ă©difices antĂ©rieurs qui se sont succĂ©dĂ© de l'AntiquitĂ© jusqu'au XVIIIe siĂšcle. AprĂšs 1789, le Palais des ArchevĂȘques devient théùtre, Ăcole Centrale, bibliothĂšque et dĂ©pĂŽt des oeuvres d'art confisquĂ©es. Le fonds le plus ancien du musĂ©e est constituĂ© d'oeuvres saisies en 1794 dans les maisons d'immigrĂ©s, les Ă©glises et les couvents, en particulier les grandes abbayes de Marmoutier, de Bourgueil et de La Riche, ainsi que des tableaux et des meubles provenant du chĂąteau de Chanteloup, de Richelieu. Plusieurs Ćuvres en provenance du chĂąteau de Richelieu et du chĂąteau de Chanteloup. Plusieurs envois du MusĂ©um central des Arts musĂ©e NapolĂ©on de 1803 Ă 1814 1801, 1803, 1806.Les pages indiquĂ©es renvoient au CATALOGUE En 2015, les salles du dernier Ă©tage ont Ă©tĂ© trĂšs bien rĂ©novĂ©es. Les primitifs italiens ont Ă©tĂ© installĂ©s au premier Ă©tage, et l'accrochage a Ă©tĂ© modifiĂ©. Hall d'entrĂ©e. Monnoyer Fleurs dans un vase d'albĂątre. Envoi 1803. Premier Ă©tage. Sur le palier du grand escalier. Charles de La Fosse 1636-1716 Portrait d'Armand-Jean Vignerot du Plessis, duc de Richelieu. Grand portrait Ă©questre du neveu du cardinal de Richelieu. Provient du chĂąteau de Richelieu. En 1647, il est envoyĂ© par Mazarin au secours de Naples assiĂ©gĂ©e par les Espagnols. Les marins espagnols enflamment leurs vaisseaux pour Ă©viter quâils tombent entre les mains des Français. CommĂ©more la modeste victoire remportĂ©e sur lâescadre espagnole. Le fond du tableau Ă©voque la bataille navale. Le duc, qui nâa pas encore 20 ans, reprĂ©sentĂ© en triomphateur antique, est guidĂ© par une Victoire ailĂ©e accompagnĂ©e du GĂ©nie de la Guerre portant le heaume du hĂ©ros. prov. chĂąteau de Richelieu SĂ©rie de bustes en marbre antiques, complĂ©tĂ©s au XVIIe, provenant du ChĂąteau de Richelieu. Salle 101. Francesco CaĂŻro 1607-65 St SĂ©bastien soignĂ© par IrĂšne. Toile peinte Ă lâoccasion dâĂ©pidĂ©mies frĂ©quentes de peste au 17e s. Belle composition simple et originale. Clair obscur. Le corps de SĂ©bastien est placĂ© en diagonale, le visage renversĂ© vers le spectateur. IrĂšne, sous les traits d'une femme ĂągĂ©e rare, le soigne en dĂ©posant dĂ©licatement du baume Ă lâaide dâune plume sur ses blessures. Confrontation entre jeune homme/vieille femme. Les flĂšches sont dĂ©jĂ retirĂ©es. LumiĂšre sur les mains et le turban dâIrĂšne. Beau corps abandonnĂ© du jeune homme. ScĂšne intimiste, seulement deux personnages. Mattia Preti, dit Il Cavaliere Calabrese 1613-99 Le Triomphe de SilĂšne. Ćuvre de jeunesse, influence de Caravage, des peintres vĂ©nitiens, et de Poussin Les Bacchanales. Saisi en 1799 Ă Turin comme Ćuvre de Poussin. Envoi de 1803. Innocenzo Tacconi 1575-1625 DĂ©position de Croix. Le corps du Christ soutenu par deux anges. A droite, la Vierge ; agenouillĂ©e Ă gauche, Marie de Magdala. MaĂźtre de l'annonce aux bergers LâEvangĂ©liste 1630. L'homme de face est en train d'Ă©crire sur un livre, une plume d'oie Ă la main ; clair obscur ; belle toile puissante. Salle 102. Antoine Coypel 1661-1722 Deux projets de tapisserie peints sur toile ; sujets tirĂ©s de l'Iliade. -La ColĂšre d'Achille. ModĂšle pour la premiĂšre des 5 tapisseries commandĂ©es en 1717. AthĂ©na domine la scĂšne. p. 65 -Les Adieux d'Hector et d'Andromaque. Le hĂ©ros troyen, avant de retourner au combat, dit adieu Ă son Ă©pouse Andromaque et Ă leur fils Astyanax. ScĂšne centrale surmontĂ©e par une arche de pierre. Eustache Le Sueur 1616-55 3 Ćuvres. -La Vierge, l'enfant JĂ©sus et St Jean-Baptiste. A droite, Jean tient la cheville de JĂ©sus. Belle toile. Et 2 beaux pendants saisis Ă lâabbaye bĂ©nĂ©dictine de Marmoutier, Ă la RĂ©volution. -St Louis pansant les malades. AgenouillĂ© Ă gauche, St Louis essuie les pieds d'un malade. -St SĂ©bastien pansĂ© par les saintes femmes. Belle toile. IrĂšne retire les flĂšches que sa servante entasse 4 flĂšches aux pieds de SĂ©bastien. Deux anges soutiennent le saint. Philippe de Champaigne 1602-74 -Portrait de Victor Le Bouthillier, archevĂȘque de Tours de 1641 Ă 1670. La sobriĂ©tĂ© de la mise en page, la gamme chromatique restreinte Ă des gris-vert, le faible Ă©clairage prĂ©servent tout le raffinement de ce portrait Ă lâexpression du visage. Philippe de Champaigne Le Bon Pasteur. JĂ©sus debout, vĂȘtu d'une tunique rose et d'un manteau bleu, porte un agneau sur ses Ă©paules. Le Bon pasteur donne sa vie pour ses brebis ». Philippe de Champaigne se lie avec le milieu jansĂ©niste austĂšre piĂ©tĂ©. Attribution certaine depuis 1995. Nombreuses rĂ©pliques, copies, etc. Provient de lâabbaye de Port-Royal, envoi du MusĂ©um central en 1803. AffectĂ© au musĂ©e de Tours Ă la demande du prĂ©fet dâIndre-et-Loire, le gĂ©nĂ©ral-comte de Pommereul, en Ă©change des Ćuvres saisies au chĂąteau de Richelieu et Ă lâabbaye de Marmoutier, et envoyĂ©es Ă Paris. Gabriel Blanchard 1640-1704 Sainte Famille. Fils de Jacques Blanchard. Reçu Ă lâAcadĂ©mie en 1663. SollicitĂ© pour les grands chantiers royaux Ă Versailles, au Trianon, aux Tuileries. Grand tableau pour le revers du maĂźtre-autel de l'Ă©glise de Versailles au recto, lâAssomption de la Vierge », par Michel II Corneille. Nouvelle salle Richelieu qui Ă©voque le dĂ©cor intĂ©rieur du chĂąteau du cardinal de Richelieu Ă Richelieu De gauche Ă droite "La Prise de Privas" cette toile se trouvait dans la galerie des Batailles -Buste de Volusianus - Buste de Pyrrhus marbre Hercule Richelieu. Marbre Hercule-Richelieu. Marbre Apollon Richelieu. Marbre Salle 103 - Salon de Diane. Houdon 1740-1828 Diane. Grand bronze. SĂ©bastien II Le Clerc 1676-1763 La DĂ©ification d'EnĂ©e. Morceau de rĂ©ception Ă l'AcadĂ©mie royale de peinture en 1704. EnĂ©e fils de VĂ©nus et dâAnchise, jeune homme allongĂ©, dĂ©nudĂ©, alangui. En haut Ă gauche, VĂ©nus, debout au-dessus de lui, assiste Ă la cĂ©rĂ©monie. Hyacinthe Collin de Vermont 1693-1761 Bacchus confiĂ© par Mercure aux nymphes de l'Ăźle de Naxos. Confusion avec une autre Ăźle Morceau de rĂ©ception Ă l'AcadĂ©mie royale de peinture en 1725. Jean-Bernard Restout 1732-1797 PhilĂ©mon et Baucis donnant l'hospitalitĂ© Ă Jupiter et Mercure. ElĂšve de son pĂšre. Morceau de rĂ©ception Ă l'AcadĂ©mie royale de peinture en 1765. Envoi du MusĂ©um central en 1803. Pour Ă©prouver les hommes, Jupiter et Mercure, dĂ©guisĂ©s en mendiant, voyagent en Phrygie et demandent l'hospitalitĂ©. Tous les chassent, sauf PhilĂ©mon et Baucis, vieux couple trĂšs pauvre. Les deux vieillards s'empressent de recevoir leurs hĂŽtes, servent un repas. Ils remplissent les coupes de vin et s'Ă©tonnent de constater que le niveau ne baisse pas dans la cruche. Les dieux se font connaĂźtre. Ils noient la rĂ©gion sous un dĂ©luge, mais la cabane de PhilĂ©mon ne cĂšde pas et devient un temple d'or. Ils ont formulĂ© le vĆu de n'ĂȘtre jamais sĂ©parĂ©s Jupiter les change en arbres, un chĂȘne et un tilleul, issus du mĂȘme tronc. Antoine Boizot 1702-82 Apollon caressant LeucothoĂ©. Morceau de rĂ©ception Ă l'AcadĂ©mie royale de peinture en 1737. Belle acadĂ©mie d' fille du roi de Babylone, se laissa sĂ©duire par Apollon. Son pĂšre la fit enterrer vivante. Mais Apollon la changea en arbre porteur dâencens. Envoi 1803. Jacques Dumont, dit Le Romain 1701-81 -Hercule et Omphale. Hercule rĂ©duit en esclavage par les charmes dâOmphale, reine de Lydie. Omphale tient la massue, Hercule la quenouille. Morceau de rĂ©ception Ă l'Acad. royale de peinture en 1728. Envoi 1803. Jean Raoux 1677-1734 Mademoiselle PrĂ©vost en Bacchante. Dans un de ses rĂŽles les plus cĂ©lĂšbres, celui dâune bacchante dans PhilomĂšle », opĂ©ra Ă©crit en 1705 par Roy et Lacoste. Nattier 1683-1766 PersĂ©e, assistĂ©e par Minerve, pĂ©trifie PhinĂ©e et ses compagnons en leur prĂ©sentant la tĂȘte de MĂ©duse. Morceau de rĂ©ception Ă l'AcadĂ©mie royale de peinture en 1718. Envoi du MusĂ©um central en fils de DanaĂ© et Jupiter tue MĂ©duse. Sur le chemin du retour, il dĂ©livre AndromĂšde et l'Ă©pouse. Lors de leurs noces, PhinĂ©e Ă qui elle Ă©tait promise - oncle dâAndromĂšne, victime de son amour malheureux pour AndromĂšde, pĂ©nĂštre dans la salle du festin et tue tous ceux qu'il rencontre. Pour mettre met fin au massacre, PersĂ©e brandit la tĂȘte de MĂ©duse il regarde ailleurs. PhinĂ©e, tombĂ© Ă genoux, se transforme peu Ă peu en pierre grise. A gauche, plusieurs soldats sont dĂ©jĂ pĂ©trifiĂ©s. Un autre, encore vivant, s'apprĂȘte Ă poignarder un convive. AthĂ©na-Minerve assiste Ă la scĂšne. Le musĂ©e de Tours est cĂ©lĂšbre pour la sĂ©rie des 13 "morceaux de rĂ©ception Ă l'AcadĂ©mie royale de Peinture" qu'il conserve parfois accrochĂ©s en alternance Charles Armand 1645-1720 Paysage avec Apollon et la sybille de Cumes, DĂ©iphobĂ©. Morceau de rĂ©ception Ă l'AcadĂ©mie royale de peinture en 1673. François Marot 1666-1719 Les Fruits de la paix de Riswyck. Morceau de rĂ©ception Ă l'AcadĂ©mie royale de peinture en 1702. Joseph Christophe 1662-1748 PersĂ©e tranchant la tĂȘte de MĂ©duse. Morceau de rĂ©ception Ă l'AcadĂ©mie royale de peinture en 1702. Michel-Ange Houasse 1680-1730 Hercule jetant Lycas [Lichas] dans la mer. Morceau de rĂ©ception Ă l'AcadĂ©mie royale de peinture en 1707. Pierre Saint-Yves 1666-1716 Envoi 1803. -Le Sacrifice de la fille de JephtĂ©. Morceau de rĂ©ception Ă l'AcadĂ©mie royale de peinture en 1708. Jean Restout 1692-1768 La Nymphe ArĂ©thuse poursuivie par AlphĂ©e. Morceau de rĂ©ception Ă l'AcadĂ©mie royale de peinture en 1720. Jacques-Nicolas Julliard 1715-90 Paysage au soleil levant. Morceau de rĂ©ception Ă l'AcadĂ©mie royale en 1759. Salle 104 - Salon Boulogne, dit l'AĂźnĂ© 1649-1717 Pluton enlevant Proserpine. prov. chĂąteau de Chanteloup -La Nymphe Io mĂ©tamorphosĂ©e en gĂ©nisse par Jupiter, trace son nom sur le sable pour se faire reconnaĂźtre par ses parents. Io, prĂȘtresse de Junon, aimĂ©e par Jupiter, fut transformĂ©e en gĂ©nisse par le dieu suprĂȘme de lâOlympe, pour la soustraire Ă la jalousie de son Ă©pouse. ChĂąteau de Chanteloup -Neptune amenant Amphitrite dans un char marin, vers son palais. Chanteloup-Acis et GalatĂ©e sur les eaux Chanteloup François Lemoyne 1688-1737 Pygmalion voyant sa statue s'animer 1729. Grande toile. Louis de Boulogne 1654-1733 2 et ses compagnes Ă la chasse au sanglier. Chanteloup Louis de Boulogne Diane et ses compagnes se reposant aprĂšs la chasse. Chanteloup Salle 105 - Salon vert. Hyacinthe Collin de Vermont 1693-1761 Darius donnant sa fille Mandane en mariage Ă Cyrus. François Boucher 1703-70 Sylvie fuyant le Loup quâelle a blessĂ©. Personnage du drame pastoral du Tasse, Amyntas » 1573. Le berger Amyntas aime la chasseresse Sylvie, vouĂ©e Ă Diane donc Ă la virginitĂ©. AttaquĂ©e par un loup quâelle a blessĂ©, elle sâenfuit mais lĂąche son voile, qui se teinte du sang de lâanimal. Amyntas, trouvant le voile, croit Sylvie morte et se tue. Sylvie, apprenant sa mort, avoue enfin lâamour quâelle lui portait, et meurt Ă son tour. histoire proche de Pyrame et ThisbĂ© » JugĂ©e trop violente, la fin de lâhistoire a Ă©tĂ© modifiĂ©e et réécrite au 18e siĂšcle ; et câest cette nouvelle version que Boucher a illustrĂ©e AprĂšs sa tentative de suicide en se jetant du haut dâune falaise, Amyntas revient Ă la vie dans les bras de Sylvie. François Boucher 1703-70 Amintas revient Ă la vie dans les bras de Sylvie. D'aprĂšs Le Tasse. ChanteloupEn 1756, le duc de PenthiĂšvre, petit-fils de Louis XIV et de Mme de Montespan, commande Ă F. Boucher, pour son hĂŽtel de Toulouse actuelle banque de France une suite de 4 compositions inspirĂ©es par Aminta, poĂšme dramatique de Torquato Tasso, Ă©crit en 1581, et racontant les amours contrariĂ©es du jeune berger Aminte pour Sylvie, chaste nymphe de Diane deux de ces toiles sont toujours dans leur lieu dâorigine Sylvie soulageant Philis dâune piqĂ»re dâabeille » â Sylvie dĂ©livrĂ©e par Aminte ». Les deux autres furent transportĂ©es au chĂąteau de Chanteloup â acquis par PenthiĂšvre en 1786 â oĂč elles seront saisies en 1794. Puis affectĂ©es au musĂ©e des Beaux-Arts de Tours. Ec. française 18e Portrait de Louis du Tens François Boucher Apollon rĂ©vĂ©lant sa divinitĂ© Ă la bergĂšre IssĂ© ou Issa - 1750. CommandĂ© par la marquise de Pompadour pour son chĂąteau de CrĂ©cy. Puis au chĂąteau de Chanteloup. Saisie 1794. Henri Deshays 1729-65 Pygmalion voyant sa statue s'animer. Vincent 1746-1816 Orythie enlevĂ©e par BorĂ©e. Brenet 1828-92 PrĂ©sentation de JĂ©sus au Temple. Boucher 1703-70 Apollon couronnant les Arts. Projet pour le rideau de lâopĂ©ra du Palais Lancret 1690-1743 4 panneaux. Sujets tirĂ©s de contes de La BergĂšre couronnĂ©e - Les Lunettes. Flagellation d'un villageois par des RĂ©mois - Le Berger indiscret ou La bergĂšre endormie. Nicolas Lancret Les Lunettes, tirĂ© du conte de La Fontaine. Un jeune blondinet sâĂ©tait introduit dans un couvent de nonnes en se faisant passer pour une fillette. Il nâavait pas 15 ans, il passa pour sĆur Colette. Il sĂ©duit AgnĂšs, une jeune nonne, qui dut Ă©largir sa ceinture », et donna naissance Ă un enfant. Scandale dans lâabbaye. La Prieure envoie la nonne en prison et enquĂȘte. Les murs sont hauts, il est impossible de pĂ©nĂ©trer dans lâabbaye, alors le loup est dans la bergerie, un garçon dĂ©guisĂ© en fille. Elle ordonne que toutes les nonnes se dĂ©shabillent. Le garçon attacha son sexe avec un fil. Mais le garçon est en prĂ©sence des 20 nonnettes nues devant lui. Et quand la prieure qui portait des lunettes observa de prĂšs le garçon, le fil se rompit et le membre en se redressant brutalement fit voler les lunettes. Les vieilles nonnes empoignent le garçon, lâattachent Ă un arbre, le dos Ă lâair, et vont chercher dans les cuisines, verges, balais et disciplines pour le jeune meunier passe par lĂ , coureur de filles, il sâĂ©tonne de voir le garçon attachĂ©. Il lui demande pourquoi il est ainsi. Le garçon lui fait croire que câest parce quâil nâa pas voulu cĂ©der aux avances des nonnes. Le Meunier rit, le dĂ©lie, et lui propose de prendre sa place. Le garçon se sauve. Les vieilles nonnes reviennent et accomplissent le chĂątiment, malgrĂ© les promesses du Meunier de les rendre heureuses. Louis TocquĂ© Portrait du duc de Richelieu, petit-neveu du cardinal. Perronneau 1715-83 Autoportrait. Salle 106. Salon gris. HouĂ«l 1735-1813 Plusieurs paysages qui Ă©taient les dessus-de-portes du salon de musique. Montre diffĂ©rents aspects du domaine de Chanteloup. HouĂ«l Vue de Paradis, prĂšs de Chanteloup. Chanteloup Hubert Robert 1733-1808 Cascade sous un pont en ruines. Proche des compositions de Valence. Salle 107. Salon jaune Alexandre Roslin 1718-93 Portrait de M. Flandre de Brunville -Portrait de Mme Flandre de Brunville. Harmonie des vĂȘtements rouges et noirs, avec des parures blanches, sur fond sombre. Louis-Michel van Loo atel. Portrait du duc de Choiseul. Simon Oeben attr. Bureau-cartonnier du duc de Choiseul Antoine Vestier 1740-1824 Portrait de Jean Theurel, doyen des VĂ©tĂ©rans pensionnĂ©s du roi au rĂ©giment de Touraine. Reçu Ă l'AcadĂ©mie en 1786. Salle 108. Salon Ă la Vignon Tours 1593-1670 TĂȘte de jeune fille. petit format Anonyme France XVIIe L'Automne ou La Rixe. D'aprĂšs Abraham Bosse Tours 1604-76 - Les Cinq sens. Cinq toiles d'aprĂšs les gravures dâAbraham Bosse. Le thĂšme des 5 sens est le plus souvent prĂ©texte Ă vanter les plaisirs de la vie. A. Bosse a mis ses contemporains dans leurs occupations quotidiennes. Les sens sont indiquĂ©s en latin dans un petit mĂ©daillon Gustus â Auditus - Odoratus - Tactus - Visus. Dans Le GoĂ»t, atmosphĂšre raffinĂ©e, opulence du dĂ©cor, luxe des objets, Ă©lĂ©gance des costumes, dĂ©licatesse des attitudes. Au centre de la table est servi un artichaut, lĂ©gume particuliĂšrement en vogue depuis le XVIe s. L'arriĂšre-plan complexe Ă©voque lâEgypte dâoĂč proviendrait ce lĂ©gume considĂ©rĂ© comme âaphrodisiaqueââ, introduit Ă la Cour par Catherine de MĂ©dicis. Dans LâOuĂŻe, un concert de musiciens. A lâarriĂšre plan Ă droite, un tableau reprĂ©sentant uns scĂšne de bataille = le fracas des armes ; soit, le bruit en opposition Ă la musique harmonieuse L'Odorat Le Toucher. Une scĂšne Ă©rotique Abraham Bosse d'aprĂšs La Vue Hyacinthe Rigaud 1659-1743 Portrait du PĂšre Guyet de Chevigny, Ă 75 ans. Ec. française 17e La Mort de Ste CĂ©cile. Sur albĂątre. Salle 109. Salle des Vignon. Claude Vignon Tours 1593-1670 La Circoncision. Le Grand PrĂȘtre, entourĂ© dâune foule nombreuse, effectue la circoncision de lâenfant. Belle composition organisĂ©e en deux registres. De gauche Ă droite le passĂ©, le prĂ©sent, le futur axe de lâhistoire.De bas en haut la terre et le ciel. Les deux axes de cette composition forment une croix Ă lâintersection de laquelle est placĂ© lâ le panneau central, Dieu le PĂšre apparaĂźt dans le Saint des Saints, les pieds posĂ©s sur les chĂ©rubins de lâarche dâAlliance. Il tient lâencensoir dans sa main droite pour montrer quâil participe Ă la scĂšne, et Ă©tablit la filiation de JĂ©sus ; en prĂ©sentant le livre ouvert, Dieu manifeste son alliance avec les hommes. Au-dessous, lâenfant est source de lumiĂšre. MoĂŻse, Ă gauche, avec les tables de la Loi, Ă©tablit la liaison avec le passĂ©. A droite, la prophĂ©tesse Anne, Marie et scĂšne de gauche Ă©voque lâancienne Alliance avec le peuple hĂ©breu ; câest un monde clos, sans ouvertures sur lâextĂ©rieur. Le lumiĂšre divine effleure le chandelier Ă 7 branches, les statues des prophĂštes adossĂ©es Ă la double colonne, le lecteur dans la chaire, mais elle sâaffaiblit peu Ă peu e arrivant vers le droite, les anges dans le ciel regardent la scĂšne, et certains sonnent de la trompette ; sur terre, une procession sâavance, tous les regards convergent vers lâenfant. Une grande ouverture dans lâangle droit permet au regard de sortir et de voir au centre du paysage une colonne surmontĂ©e dâune boule, câest lâavenir avec le nouvel axe du monde lâ peut y voir aussi la reprĂ©sentation des diffĂ©rentes Ă©tapes de la vie de sources lumineuses dans la partie supĂ©rieure et sur les en 1994, pour 750 000 F aux collectionneurs amĂ©ricains Frankel, aprĂšs lâexpo Vignon ». - CrĂ©sus rĂ©clamant le tribut Ă un paysan de Lydie 1629. Influence du Caravage. Belle composition traitĂ©e en clair obscur. A droite, le roi revĂȘtu d'habits vivement colorĂ©s, bleu, vert, rouge, jaune, blanc et or. A gauche, deux jeune gens encadrent le paysan pauvre. Belle nature morte au premier plan livres de comptes, feuilles, piĂšces d'or. Le contraste entre la duretĂ© du roi et la dĂ©tresse du vieillard crĂ©e une intensitĂ© dramatique trĂšs théùtrale. EmpĂątements somptueux. Valeur de VanitĂ© ». Claude Vignon attr. Ă Le Spadassin. Jacques Blanchard 1600-38 St Antoine AbbĂ©. Clair obscur ; sobre composition ; main gauche posĂ©e sur un crĂąne. Saisie rĂ©volutionnaire en 1794. Pierre Patel 1605-76 Paysage avec repos pendant la fuite en Egypte. D'aprĂšs Georges de La Tour Les Larmes de St Pierre. Copie ancienne, original perdu 1646.Claude François, dit FrĂšre Luc 1614-85 Mater Dolorosa. Salle 110. Salle des Etats. Italie 17e deux pendants. La Mort de ClĂ©opĂątre â Procris et CĂ©phale. Chanteloup Jean Jouvenet 1644-1717 Le Centenier aux pieds de JĂ©sus. Envoi de II Restout le jeune 1692-1768 deux ou Extase de St BenoĂźt - La Mort de Ste Scholastique, sĆur de St BenoĂźt. 1730 CamaĂŻeu de gris, bleu-gris, et brun. Saisie rĂ©volutionnaire Ă l'abbaye de Bourgueil, Lamy 1685-1743 Assomption de la Vierge. Grande toile. Michel-Nicolas-Bernard LĂ©piciĂ© 1735-84 Mathatias grand prĂȘtre juif tue un juif idolĂątre et lâofficier du roi Antiochus qui forçaient le peuple Ă sacrifier aux idoles, et fait renverser lâautel. Envoi Valentin de Boulogne St Jean Ă Patmos â St Luc â St Mathieu â St Marc. Jean-Simon BerthĂ©lemy 1743-1811 Manlius Torquatus condamnant son fils Ă mort pour sâĂȘtre, malgrĂ© sa dĂ©fense, engagĂ© dans un combat singulier avant la bataille. Titus Manlius Torquatus, consul en 340 avt soumit le peuple latin, et sacrifia son fils pour rĂ©tablir la discipline au sein de lâarmĂ©e romaine. Envoi de 1803. Orazio Riminaldi 1593-1630 Le Supplice de PromĂ©thĂ©e. Superbe nu. Composition Ă rapprocher du St SĂ©bastien de A. de Bellis OrlĂ©ans. AttribuĂ© Ă Guido Reni au 17e s. Attribution toujours discutĂ©e. Son pendant Samson tuant les Philistins avec une mĂąchoire dâĂąne » est au musĂ©e de Grenoble.Michel Corneille 1603-64 Le Massacre des Innocents. PlutĂŽt de son fils. Envoi 1803. expo OrlĂ©ans Salle 111. Pierre Gobert 1662-1744 attr. Portrait prĂ©sumĂ© de Mlle de Charolais pinçant de la guitare ». Nicolas de LargilliĂšre 1656-1746 Portrait de M. Roze-Moussard, fabricant de soieries Ă Tours. TrĂšs Ă©lĂ©gant et raffinĂ©, superbe en habit de l'artiste en habit rouge - Portrait d'un magistrat. Joseph Parrocel 1646-1704 Foire de Bezons. InfluencĂ© par Jacques Courtois, il peint des batailles. Avec ce sujet exceptionnel, il lance la vogue des FĂȘtes galantes. Collection de Louis XIV, du comte de Toulouse son fils, du duc de PenthiĂšvre ; se trouvait Ă ChĂąteauneuf-sur-Loire, puis Ă Chanteloup. Hyacinthe Rigaud 1659-1743 attr. Portrait prĂ©sumĂ© de Mlle Duclos. Revenir vers les salles de peintures du nord. Salle 112. Arnold van Brounckurst XVIe Portrait de Lord William Cecil, Lord II van Nieulandt, dit Guglielmo Terranova 1584-1635 L'Annonce aux bergers. ScĂšne nocturne ; clair obscur trĂšs brutal. TrĂšs Ă©loignĂ©e des habituels paysages italianisants. En haut Ă droite, un ange surgit d'une trouĂ©e lumineuse dans le Bertoja 1544-74 Le Jugement de PĂąris. PĂąris, jeune homme nu, remet la pomme Ă II Francken 1581-1642 La PitiĂ© du seigneur - L'EnlĂšvement d'HĂ©lĂšne. CortĂšge de figures en mouvement, sentiment van Cleve attr. Ă Vierge allaitant l' Metsys attr. Ă Vierge Ă l'enfant. Anonyme. Anvers vers 1520 Adoration des Mages. Beau triptyque. Au centre, Vierge Ă lâenfant et 2 Mages Melchior et Gaspard. Balthazar sur le volet de droit ; Joseph sur le volet de Pierre Coecke 1502-50 La Sainte Famille. G. GrĂ©goire â Volet D. La donatrice religieuse avec son saint patron, Jean-Baptiste. Ensemble de triptyques flamands XVIe. Salle 113. Johan Georg Platzer 1704-61 AllĂ©gorie. Composition foisonnante et tumultueuse. reprĂ©sentant du baroque autrichien. Ami de Janneck.Franz Karl Palko 1724-67 L'apothĂ©ose de St Jean NĂ©pomucĂšne. Etude prĂ©paratoire pour une voĂ»te. Franz Christoph Janneck 1703-61 RĂ©surrection de Lazare. TrĂšs belle Ćuvre finement peinte ami de Platzer. Composition pyramidale. Au centre, JĂ©sus, vĂȘtu d'une tunique bleu clair et d'un manteau rose ; Ă gauche, Lazare se redresse dans son tombeau. Marthe de dos. Autour, une foule nombreuse ; attitudes et expressions trĂšs diverses des spectateurs. ArriĂšre plan de ruines Georg Trautman 1713-69 Incendie Ivo Leicher 1727-1811 Le martyre de Ste ThĂšcle. PremiĂšre sainte de l'Ă©glise d' GĂŒnther 1705-88 Apollon et Marsyas. Esquisse du plafond de lâopĂ©ra de Stuttgart. Salle 114. Jan Joseph van Goyen 1703-61 Marine. petite Palette monochrome. Allaert van Everdingen 1621-75 Cascade en Teniers le jeune 1610-90 Buveur. Bartholomeus van der Helst Portrait de jeune Femme 1630-40. TrĂšs beau ; grande fraise et fine dentelle blanches. Rembrandt Harmensz van Rijn 1606-69 Fuite en Egypte 1625. Peint Ă 19 ans. Esquisse pour une Ćuvre jamais rĂ©alisĂ©e. EntrĂ© au musĂ©e comme Ćuvre anonyme hollandaise. Rendue Ă Rembrandt en 1956 ; dĂ©sattribuĂ©e 1997 au profit de GĂ©rard Dou. Tableau redonnĂ© Ă Rembrandt en 2000. Petite Ćuvre de jeunesse traitĂ©e en clair ter Borch 1617-81 Portrait d'homme. VĂȘtu de noir ; collerette blanche. Joris van Son Nature morte au Fromage. Belle et forte. Joris van Son Fruits entourant un mĂ©daillon de la sainte de Heem 1631-95 Fleurs dans une bouteille de verre. Attr. Ă Ambrosius Bosschaert le vieux 1573-1621 Vase de fleurs. Papillon, libellule, mouche, insecte, chenille. Hendrick Cornelis van Vliet 1611-75 IntĂ©rieur de la Oude Kerk de Delft. Rubens 1577-1640 Envoi 1803. Ex-voto Vierge Ă l'enfant et donateurs. Alexandre Goubau et sa femme Anne Antoni. La Vierge, en haut Ă droite, porte une robe rouge et un manteau bleu. Les donateurs sont en bas Ă gauche. A la mort, en 1604, dâAlexandre-Jean Goubau, grand aumĂŽnier de la cathĂ©drale dâAnvers, son Ă©pouse, Anne Antoni, commande Ă Rubens cet ex-voto destinĂ© au monument funĂ©raire du couple, situĂ© dans la chapelle des maçons de la cathĂ©drale. Rubens, qui Ă©tait alors en Italie ne reviendra quâen 1608. Il sâagit donc dâun portrait posthume du donateur. Pieter Molijn 1595-1661 Paysage avec figures. A droite, un vieil arbre tordu. GĂ©rard Seghers Attr. Ă Le Reniement de St Pierre. Clair obscur. H. Maria Werts Bouquet de fleurs dans une carafe. AprĂšs la salle 114, revenir Ă lâescalier central. Dans lâescalier Louis-Michel van Loo 1707-71 Portrait de Melle SallĂ©, danseuse de l'opĂ©ra. Charles Armand 1645-1720 Paysage avec Apollon et la sybille de Cumes, DĂ©iphobĂ©. Morceau de rĂ©ception Ă l'AcadĂ©mie royale de peinture en 1673. Vue de l'escalier Coypel La ColĂšre d'Achille en bas, Ă gauche DeuxiĂšme Ă©tage. Salle 202. Joseph Vivien 1657-1734 Portrait dâun abbĂ©. Alexandre Roslin 1718-93 Portrait du comte du Cluzel. Jean Restout Le Repos pendant la Fuite en Egypte Pierre Subleyras 1699-1749 Le songe de Joseph. Pierre Subleyras Adoration des rois Mages esquisseCarle van Loo Sacrifice de ManuĂ© 1721.-Agonie de St Augustin. Belle esquisse presque en grisaille ; peinte avec assurance. Henri-Pierre Danloux Portrait dâAntoine-Marie, comte du Cluzel 1786. Pierre Peyron 1744-1814 Prix de Rome 1773. -Agar et l'Ange. Dans le dĂ©sert, avec IsmaĂ«l, endormi Ă gauche. Envoi de Rome 1780. Salle 203. Hue Vue des Cascatelles de Tivoli et du temple de la Sybille. 1786 Louis Cazin 1784-1819 Paysage montagneux avec guerriers. Joseph-BenoĂźt SuvĂ©e 1743-1807 La Vestale Tuccia tenant le crible. Joseph Taillasson 1745-1809 TimolĂ©on Ă qui les Syracusains amĂšnent des Combette 1770-1840 Portrait de famille Michel-Martin DrĂŽlling Jeune adolescent au bord d'une Fontaine. Jeune garçon nu et imberbe, un peu androgyne. Erotisme dĂ©licat. JeanJules-Antoine Lecomte-du-NouĂż 1842-1923 Eros-Cupidon 1873 Augustin-Louis Belle Agar dans le DĂ©sert 1819 Ec. Angelica Kauffmann Diane dĂ©couvrant la grossesse de Callisto â Pluton enlevant Proserpine. Salle 204. Louise-JosĂ©phine Sarrazin de Belmont 1790-1870 2 jolies toiles pendants traitĂ©es avec sensibilitĂ©. ElĂšve de Pierre-Henri de Valenciennes, paysagiste romantique. Belle lumiĂšre. Vue du Forum le matin. -Et Vue du Forum le soir. Emile Signol 1804-92 ScĂšne antique â MĂ©lĂ©agre reprend les armes sur les instances de son Ă©pouse. Deux esquisses RichĂ© 1791-1878 Fleurs, raisins blancs et noirs. Beau bouquet de Boulanger 1806-67 Portrait d'HonorĂ© de Balzac. Esquisse dâun portrait Fragonard 1780-1850 Guerrier FĂ©ron 1802-76 Louis-Philippe et sa famille aux ruines du chĂąteau de Pierrefonds, Ă lâoccasion du mariage de la princesse Louise avec le roi des Vinchon 1789-1855 Au cours dâune visite nocturne des galeries de Versailles, le roi Louis-Philippe et sa famille admirent la statue de Jeanne dâArc par Marie dâOrlĂ©ans. Karl Girardet 1813-1871 Vue de la ville de Tours depuis le chĂąteau des Tourelles 1853 â acquis en 2020 Karl Girardet La CathĂ©drale et le palais archiĂ©piscopal avant 1855 Karl Girardet La Lanterne de Rochecorbon 1852 Alphonse Gaudar de Laverdine 1780-1804 Roland furieux. Belle Ă©tude prĂ©paratoire du grand tableau de ChĂąteauroux. Salle 205. peintres orientalistes. EugĂšne-Romain Thirion 1839-1910 Judith victorieuse. Debout au centre, altiĂšre, elle porte une robe verte trĂšs beau travail de matiĂšre, et un corsage blanc ; elle s'appuie sur le sabre qu'elle vient d'utiliser. A droite, plusieurs soldats soutiennent la tĂȘte d'Holopherne posĂ©e sur un drap rouge. LĂ©on Belly 1827-77 Plusieurs Decamps 1803-60 Singe au miroir EugĂšne Delacroix 1798-1863 Les ComĂ©diens ou Bouffons arabes. 1847 ThĂ©odore ChassĂ©riau 1819-56 Cavaliers arabes devant une boutique de marĂ©chal-ferrant. esquisseNarcisse BerchĂšre 1819-91 Sakieh sur les bords du Nil - Paysage. EugĂšne Vidal Marabouts dans la MosquĂ©e de Constantine 1874 Ă gauche EugĂšne Giraud 1806-81 Femmes d'Alger, IntĂ©rieur de Cour 1859 Ă droite Salle 206. Alphonse Legros 1837-99 Portrait du pĂšre de lâartiste. Edgar Degas Calvaire. Etude d'aprĂšs Mantegna Augustin Feyen-Perrin 1826-88 Velpeau allant procĂ©der Ă l'autopsie d'un cadavre Ă l'hĂŽpital de la CharitĂ©. Renvoie au tableau de Rembrandt, La Leçon dâanatomie ». courant rĂ©aliste. Grand dessin au musĂ©e de lâAssistance publique Ă Paris. Georges Moreau de Tours 1848-1901 Un Egyptologue. Belle toile Brascassat Le Mouton Leleux 1820-85 Robert-Fleury 1837-1911 Les vieilles de la place Navone Ă Santa Maria della Desgoffe Nature morte au Casque circassien. Poignard et poire Ă poudre. Beaux effets. Salle LĂ©pine Caen, la Douane. Claude Monet 1840-1926 Un Bras de la Seine prĂšs de VĂ©theuil. Peint depuis son bateau-atelier. legs Mme LefĂšvre p. 115Jean BĂ©raud "Parisiennes". 2 petites huilesLĂ©on Bonnat Portrait de Mlle de Nouille. Fade. Beau traitement de la robe blanche et des Debat-Ponsan 1847-1913 Plusieurs Ćuvres. Une tentative de travail Ă la maniĂšre des impressionnistes un jardin, plat et peu lumineux. -Le petit Bernard jouant dans l' le bal. ScĂšne d'intĂ©rieur intimiste. Le peintre et sa famille. La mĂšre donne le sein Ă son enfant avant de partir au bal robe de soirĂ©e ; l'homme en frac, attend patiemment. Edouard Debat-Ponsan Simone Debat-Ponsan dans sa loge Ă l'OpĂ©ra 1908 FĂ©lix Ziem 1821-1911 Vue sur la Corne d'Or et Constantinople - Venise et le Grand LĂ©andre 1862-1930 Portrait de Georges Courteline. Desbois 1851-1935 Torse de Sisyphe. Rodin Balzac drapĂ©. Bronze. Antoine Bourdelle Montauban 1861-1929 Buste dâAnatole France. Torse nu. Bronze. Salle Cazin 1841-1901 Le DĂ©gel Jean-Charles Cazin Agar et IsmaĂ«l dans le DĂ©sert. Marie Cazin 1844-1924 Les OubliĂ©es. Grande Ă©bauche Ă la grande toile. Salle 209. Marcel Loyau 1895-1936 Groupe Ă©questre. Centaure ou Le Centaure Chiron et centaure porte en croupe un jeune archer nu. Beau bronze. Salle 210. Salle Olivier grandes toiles abstraites de DebrĂ©. Deux bronzes. Vieira da Silva La Voie de la Sagesse. Alberto Giacometti. Bronze Pierre Buraglio Rue ClĂ©ment-Marot acquisition 2015 Salle dans le goĂ»t de Bernard Palissy Charles-Jean Avisseau â LĂ©on Brard â Joseph Landais, etc. Dans l'escalier, vers le rez-de-chaussĂ©e Blin de Fontenay 2 Bouquets de de Champaigne Paysage avec St Zosime. ou Saint Zozime donnant la communion le viatique Ă sainte Marie lâEgyptienne. Une des 4 reprĂ©sentations de saints dans un paysage peintes pour lâappartement dâAnne dâAutriche au Val-de-GrĂące Ă Paris 2 dans les rĂ©serves du Louvre â une au musĂ©e de Mayence. Rez-de-ChaussĂ©e Donati Creti 1671-1749 Jeune Garçon tenant une page d'Ă©criture. Ste Marthe - Ste Marie-Madeleine. Debout, elle tient un crĂąne contre son ventre. CamaĂŻeu gris-vert. Sensible, Bazzani 1690-1769 St Antoine de Padoue et l'enfant JĂ©sus. St Antoine serre l'enfant JĂ©sus contre lui ; scĂšne pleine de Conca 1676-1764 Adoration des Mages. Ec. vĂ©nitienne fin 16e Lâentrevue de Judith et Holopherne. Provient de Chanteloup. Attr. Ă Andrea Vicentino influence de VĂ©ronĂšse. VĂȘtue de son costume de joie et parĂ©e de tous ses bijoux, Judith sâĂ©tait faite aussi belle que possible pour sĂ©duire les regards de tous les hommes ». BĂ©thulie, en JudĂ©e, Ă©tait assiĂ©gĂ©e par les Assyriens. Collection de primitifs italiens En 1963, le musĂ©e reçoit la collection 38 peintures et 12 sculptures du peintre et collectionneur Octave Linet 1870-1962 constituant ainsi la plus grande collection de Primitifs italiens aprĂšs celles du musĂ©e du Louvre et du Petit-Palais d'Avignon. Naddo Ceccarelltelier de Lippo Vanni 14e Couronnement de la Vierge et Christ d'Andrea Florence, 1377-1451 Les FunĂ©railles de St BenoĂźt. Naddo Ceccarelli Sienne, 14e 2 panneaux dâun diptyque. L'Annonciation - L'Adoration des Mages. Panneau 1 L'ange Gabriel haut ; la Vierge, l'enfant et un Mage agenouillĂ© bas.Panneau 2 La Vierge en haut ; les 2 autres Mages en bas.Niccolo di Tommaso Bologne, 15e Joseph d' di Pietro fin 14e Vierge Ă l'enfant dite Vierge aux cerises. La Vierge tend une grappe de cerises Ă l' de Cima da Conagliano 1470-1518 3 panneaux dâun cassone » coffre de mariage. Les FunĂ©railles de Marcus Plautius et Orestilla. ThĂšme de la fidĂ©litĂ© conjugale masculine. ArtĂ©mise buvant les cendres de Mausole. ThĂšme de la fidĂ©litĂ© Ă la mĂ©moire dâun Ă©poux. ArtĂ©mise boit les cendres de son Ă©poux le roi Mausole aprĂšs lâavoir fait incinĂ©rer. Elle fait Ă©lever Ă Halicarnasse un monument funĂ©raire, le MausolĂ©e, lâune des 7 Merveilles du monde. Antonio Vivarini 1415-1476 Deux panneaux sur fond de feuilles d' Antoine de Padoue - St Louis de di Tano Fei fin 14e di Paolo 1417-82 La Vierge et l'enfant. Fond rouge, probablement en raison de l'usure de la feuille d'or. Lorenzo Veneziano 14e Les Anges musiciens et Le Couronnement de la Vierge 1372 2 panneaux rĂ©unis rĂ©cemment. Tempera sur bois de peuplier. Le choix de la palette, composĂ©e dâorange pour lâestrade en bois, de vert, de rode, de bleu lapis pour les vĂȘtements, et de gris pour les carnations, est une constante chez Lorenzo Veneziano. Grand novateur de lâĂ©cole vĂ©nitienne de la seconde moitiĂ© du Trecento, le peintre a su se dĂ©gager trĂšs tĂŽt du style rigide byzantin, et introduire souplesse et rĂ©alisme. Provient dâun polyptyque dĂ©membrĂ© dâune Ă©glise de Bologne. Deux autres Ă©lĂ©ments du retable achetĂ©s en 2005 Les FunĂ©railles de St Jean-Baptiste â La Crucifixion. Andrea Mantegna nĂ© prĂšs de Vicence, 1431-1506 Deux panneaux cĂ©lĂšbres, chefs-d'oeuvre du musĂ©e. Envoi du MusĂ©um central Ă la fin de lâannĂ©e 1456 que Gregorio Correr, abbĂ© commandataire du monastĂšre de San Zeno, Ă VĂ©rone, commande au jeune Mantegna travaillait Ă Padoue le retable pour un maĂźtre-autel de lâĂ©glise. -Le Christ au Jardin des Oliviers. La composition est faite selon trois triangles emboĂźtĂ©s les uns dans les autres. Premier triangle Ă gauche, le mont Sion surmontĂ© de la ville de JĂ©rusalem. A droite, le mont des Oliviers pas dâoliviers, mais un oranger et un citronnier, avec JĂ©sus en priĂšre, au sommet dâune pyramide. Dans la partie infĂ©rieure, les 3 disciples endormis, avec de G. Ă D. Jacques, Jean son frĂšre, et Pierre autre triangle plus petit. Au-dessus de JĂ©sus un ange lui tend un calice pour recueillir le sang. Le troisiĂšme grand triangle contient la montagne de la RĂ©surrection couleur de feu montagne reprise dans le troisiĂšme panneau, la RĂ©surrection.Au pied de la colline, les soldats Romains sont prĂ©cĂ©dĂ©s par Judas qui tourne le dos Ă JĂ©sus et Ă la vie. La lumiĂšre vient de lapin - et deux ruches environnĂ©es dâabeilles image de la concorde et de la communautĂ© parfaites, mĂ©taphore de lâEglise ; image aussi de lâobĂ©issance un monastre bĂ©nĂ©dictin est comparĂ© Ă une ruche. La ruche est lâantithĂšse de la trahison de Judas. -La RĂ©surrection. Mouvement vertical, JĂ©sus dressĂ©, sort de son tombeau environnĂ© de rayons de lumineux ; la grotte forme une espĂšce dâarc de triomphe monumental. Le Christ est entourĂ© de fins rayons dâor et de tĂȘtes dâangelots. DrapĂ© remarquablement traitĂ©. Diverses attitudes et expressions des soldats. Un bouclier au centre fait dâune carapace de tortue ; Ă droite, une Ă©pĂ©e cassĂ©e. Le 3e panneau central de la prĂ©delle, La Crucifixion, est au Louvre. On retrouve Ă lâarriĂšre-plan la ville de JĂ©rusalem. La prĂ©delle Ă©tait surmontĂ©e de 3 grands panneaux, qui sont toujours Ă VĂ©rone restituĂ©s en 1815.Panneau central Vierge Ă lâenfant assise sur un de gauche G vers D St Pierre â St Paul â St Jean lâEvangĂ©liste â San de droite D vers G St Jean-Baptiste â St GrĂ©goire â St Laurent â St BenoĂźt. En 1956, tentatives pour rĂ©unir les 3 Ă©lĂ©ments de la prĂ©delle, Ă Tours. Mais le Louvre propose de les rĂ©unir Ă Paris contre compensations. Refus de la municipalitĂ© de Tours avec juste raison, et statu quo. Giovanni Battista Moroni 1520-78 Portrait d'homme. Finesse dans lâinterprĂ©tation psychologique. Ec. de Fontainebleau 16e Le Bain de Diane. Octobre 2013 - TrĂšs belle exposition temporaire consacrĂ©e Ă François-AndrĂ© Vincent 1746-1816 François-AndrĂ© Vincent St JĂ©rĂŽme dans le dĂ©sert Montpellier BĂ©lisaire rĂ©duit Ă la mendicitĂ© secouru par un officier des troupes de l'Empereur Justinien 1776 - Montpellier DĂ©cembre 2015 - Exposition temporaire consacrĂ©e Ă Louis-François Cassas 1756-1827 Ruines de Palmyre 1785 - Tours Dans le parc du musĂ©e une sculpture Just Becquet 1826-1907 Faune jouant avec une panthĂšreMusĂ©edes Beaux-Arts Tours: sons et lumiĂšres rennaissance - consultez 337 avis de voyageurs, 896 photos, les meilleures offres et comparez les L'exposition sur lâĆuvre d'Emile Friant au MusĂ©e des Beaux Arts Ă©tant finie depuis maintenant deux mois, vous pouvez toujours aller admirer l'un de ses tableaux les plus emblĂ©matiques, dĂ©pĂŽt du MusĂ©e d'Orsay "La Toussaint", prĂ©sentĂ© et rĂ©compensĂ© au Salon de 1889. Ămile Friant, considĂ©rĂ© comme le dernier naturaliste, propose avec cette huile sur toile de 250 x 334 cm peinte en 1888, sa vision d'un moment cĂ©lĂ©brĂ© chaque annĂ©e pour honorer les disparus la Toussaint. Le tour de force technique que reprĂ©sentent les grandes plages de blanc et de noir oĂč le peintre fait jouer de multiples variations lui valut un succĂšs immĂ©diat. VĂȘtus de noir, une fillette, deux femmes, un homme et jeune femme semblent se hĂąter, les bras chargĂ©s de chrysanthĂšmes. Au-delĂ des grilles du cimetiĂšre de "PrĂ©ville", de nombreuses silhouettes, toutes vĂȘtues de sombre, constituent le cortĂšge qui va cĂ©lĂ©brer ses morts. Ce deux femmes seraient-elles de la mĂȘme famille ? On peut l'imaginer. La fillette, en tĂȘte du cortĂšge, arbore un chaperon noir en guise de couvre-tĂȘte d'oĂč s'Ă©chappe une belle tresse. Avec son chapeau haut-de-forme, sa canne coincĂ©e sous son avant-bras gauche et sa foisonnante moustache, l'homme suit le mouvement des femmes de sa famille. La jeune femme porte un gros pot de chrysanthĂšme ; il doit ĂȘtre pesant ! AdossĂ© au pilier dâune des portes d'entrĂ©e du cimetiĂšre, un aveugle emmitouflĂ©, les jambes sous une couverture et le tĂȘte couverte d'une capuche, implore la charitĂ© des passants, pancarte posĂ©e contre son torse et gobelet dans ses mains. _____________________ Copyright - Olivier PETIT - Patrimoine de Lorraine - 2017 © Tous droits rĂ©servĂ©s ActivitĂ©sau MusĂ©e des Beaux-Arts. Le MusĂ©e Amusant. propose six offres de mĂ©diation : Lâheure des Tout-Petits et Viens jouer au musĂ©e. Un dimanche aprĂšs-midi par mois, les collections de peinture et de sculpture et lâexposition Martin de Tours, le rayonnement de la CitĂ© sont Ă lâhonneur.
Au premier Ă©tage de lâaile Louis XII, six salles sont entiĂšrement consacrĂ©es Ă la prĂ©sentation des collections de peinture et de sculpture. Le musĂ©e des Beaux-Arts du chĂąteau de Blois prĂ©sente prĂšs de trois cents Ćuvres, peintures, sculptures et objets dâart qui retracent lâhistoire des arts europĂ©ens du XVIe au XIXe siĂšcles. Parmi les chefs-dâĆuvre exposĂ©s, il faut distinguer les tableaux de Cousin, Stella, Boucher, Ingres ou ChassĂ©riau ou bien les sculptures de Lemoyne, David dâAngers et PrĂ©ault. Un accent particulier est mis sur le genre du portrait au XVIIe siĂšcle ou bien encore sur lâart troubadour qui, au dĂ©but du XIXe siĂšcle, sâattache Ă raconter de maniĂšre sentimentale et théùtrale lâhistoire des grands hĂ©ros nationaux du Moyen-Ăąge et de la Renaissance comme Jeanne dâArc ou François Ier. Histoire du musĂ©e Un musĂ©e dans un chĂąteau OĂč lâon trouve lâarchitecture et lâhistoire, on attend des collections. Quand lâarchitecture a caractĂšre dâexception, on attend les chefs-dâĆuvre. Sâil ne reste plus rien aujourdâhui des collections des rois de France au chĂąteau de Blois, le musĂ©e des Beaux-Arts vous invite, dans les anciens appartements du roi Louis XII, Ă un parcours inattendu Ă travers les arts depuis la Renaissance jusquâĂ la fin du XIXe siĂšcle. Le musĂ©e des Beaux-Arts du chĂąteau de Blois se dĂ©ploie dans les six salles du premier Ă©tage de lâaile Louis XII depuis 1869. En effet dĂšs lâĂ©poque de la RĂ©volution, des voix sâĂ©lĂšvent Ă Blois comme un peu partout ailleurs en France pour demander la crĂ©ation dâun musĂ©e destinĂ© notamment Ă la formation des artistes. En 1810, un dĂ©cret impĂ©rial accorde aux villes la nu-propriĂ©tĂ© des Ă©difices militaires et câest en tant que caserne que le chĂąteau de Blois devient 1850, Pierre-Stanislas Maigreau-Blau, maire de Blois, est Ă lâorigine de la crĂ©ation du musĂ©e qui sâinstalle alors dans lâaile François Ier, Ă©coutons-le dĂ©fendre son projet " Il nây a pas de chef-lieu de dĂ©partement en France qui ne soit aujourdâhui dotĂ© dâun musĂ©e. [âŠ] Il serait superflu dâexaminer les avantages de ces sortes dâĂ©tablissements ; On sait de quel encouragement puissant ils sont pour les arts et les sciences, par les modĂšles ou les collections quâils offrent Ă lâĂ©tude". Ainsi lâarmĂ©e libĂšre-t-elle peu Ă peu les espaces du chĂąteau qui sont investis par les peintures, sculptures, et autres objets dâart prĂȘtĂ©s dans un premier temps par les collectionneurs privĂ©s lors dâexpositions temporaires, puis peu Ă peu lĂ©guĂ©s Ă la ville et qui sâajoutent aux envois de lâEtat et aux achats sur le marchĂ© de lâart pour constituer le patrimoine artistique des BlĂ©sois. La musĂ©ographie actuelle, qui remonte Ă la rĂ©novation de 1995, a pour ambition de concilier le cadre du dĂ©cor grandiose voulu par lâarchitecte FĂ©lix Duban et les exigences dâun musĂ©e moderne. LâidĂ©e directrice est de donner au visiteur le sentiment quâil traverse les appartements anciens dâun prince contemporain et collectionneur, dont le goĂ»t raffinĂ© et Ă©rudit transparaĂźt par lâexposition dâĆuvres rares, surprenantes et belles. Ainsi a-t-on privilĂ©giĂ© les tentures de velours aux tons soutenus, les vitrines du XIXe siĂšcle et lâaccrochage serrĂ©. Câest ce parti prix qui fait toute lâoriginalitĂ© du musĂ©e des Beaux-Arts du chĂąteau de Blois. La salle d'actualitĂ© Paul Renouard, peintre et illustrateur Cette salle accueille deux expositions par an, qui permettent au public de dĂ©couvrir des Ćuvres habituellement en rĂ©serve. Cela permet aussi au public de mieux connaĂźtre le travail de lâĂ©quipe de conservation restaurations, acquisitions rĂ©centes et actualitĂ©s scientifiques. Ainsi, il est possible dâexposer plus rĂ©guliĂšrement les dessins et les gravures qui ne peuvent ĂȘtre exposĂ©s Ă la lumiĂšre que pendant de courtes durĂ©es. Ces expositions sont avant tout destinĂ©es au public local et offrent lâoccasion de frĂ©quenter pĂ©riodiquement notre musĂ©e des Beaux-Arts. Exposition actuelle Paul Renouard Cheverny 1845 ; Paris 1924 peintre et illustrateur De condition modeste, câest Ă lâĂąge de 14 ans que Paul Renouard quitte Cheverny pour trouver du travail Ă Paris. En 1868, alors quâil est employĂ© comme peintre en bĂątiments, Isidore Pils remarque ses croquis et esquisses sur les murs de la cour de lâĂcole des Beaux-Arts et le fait entrer dans son atelier. Il exĂ©cute avec lui les dĂ©corations intĂ©rieures de lâOpĂ©ra, puis rĂ©alise seul, en 1875, les fresques du plafond du grand escalier. Câest le dĂ©but dâune brillante carriĂšre. La multiplication des gazettes et publications imprimĂ©es Ă cette Ă©poque ouvre un vaste champ Ă lâillustration. De 1875 Ă 1880, Paul Renouard collabore Ă LâArt, Ă LâIllustration, Ă Paris illustrĂ©. En 1884, il entre comme dessinateur au Graphic de Londres. Son talent y fait merveille et il se dĂ©tourne de la peinture pour une production graphique extrĂȘmement personnelle. Il obtient la mĂ©daille dâor aux expositions universelles de 1889 et 1900, il exerce comme professeur Ă lâĂcole des Arts DĂ©coratifs et se lie dâamitiĂ© avec les peintres Weerts et Degas. Il voyage beaucoup, suit une expĂ©dition en Tunisie, puis rĂ©side Ă Washington oĂč il Ă©tudie la vie parlementaire des Ătats-Unis. DĂ©cĂ©dĂ© en janvier 1924, Paul Renouard est enterrĂ© au petit cimetiĂšre de Chambon-sur-Cisse. En 1926, Ă lâinitiative de lâĂcole de la Loire dont il fut le prĂ©sident, un buste est rĂ©alisĂ© par Albert Chartier, un de ses Ă©lĂšves aux Arts DĂ©coratifs, et inaugurĂ© dans les jardins de lâĂ©vĂȘchĂ©. DĂšs 1922, suite Ă lâacquisition par la ville de lâalbum Paul Renouard, son oeuvre sur la guerre 1914-1917, complĂ©tĂ© dâun don important de lâartiste, sont inaugurĂ©es au MusĂ©e rĂ©gional de Blois, alors musĂ©e dâart contemporain situĂ© dans lâancien Ă©vĂȘchĂ©, les salles entiĂšrement dĂ©diĂ©es Ă Paul Renouard. La collection est complĂ©tĂ©e par des achats importants entre 1927 et 1935, puis par le don May en 1971. Au total ce fonds comprend sept peintures et environ 550 dessins et gravures. LâĆuvre de lâillustrateur Artiste intimement liĂ© Ă son Ă©poque, lâoeuvre de Paul Renouard est un reflet vivace des choses vues et vĂ©cues. Dâun trait sobre et rapide il fixe les gestes et expressions des personnages les plus divers, depuis les chefs dâĂtat jusquâaux dockers de la Tamise. Il saisit le mouvement et il traduit en gravures les grands Ă©vĂ©nements europĂ©ens procĂšs Dreyfus, procĂšs Zola, jubilĂ© de la reine dâAngleterre, sĂ©ances de la Chambre des DĂ©putĂ©s, expositions universelles, premiĂšre guerre mondiale. Il est Ă©galement virtuose dans ses Ă©tudes dâanimaux. Lâillustration Ă la fin du XIXe siĂšcle Il ne faut pas oublier la part importante qui revient aux artistes de la fin du XIXe siĂšcle dans le domaine de lâimage destinĂ©e Ă la diffusion. La multiplication des gazettes et publications imprimĂ©es connaĂźt une extension qui ouvre un vaste champ Ă lâillustration. La reproduction de la photographie par des procĂ©dĂ©s mĂ©caniques nâest pas encore nĂ©e et les artistes, tout comme aux siĂšcles passĂ©s, gardent encore le privilĂšge de rĂ©aliser des oeuvres reproduites en lithographie comme en gravure, sur cuivre ou sur bois. Les revues illustrĂ©es Câest par lâillustration de revues que Paul Renouard devient cĂ©lĂšbre non seulement en France mais Ă lâĂ©tranger. Il est sollicitĂ© pour relater les scĂšnes dâactualitĂ© en des sĂ©ries de compositions dessinĂ©es au cours des cĂ©rĂ©monies et des grandes fĂȘtes officielles. Il exĂ©cute le portrait de grands personnages, tel le prĂ©sident Loubet ou Waldeck-Rousseau, ainsi que des croquis dâaudience au procĂšs Dreyfus ou autres grands procĂšs du moment. Ses dessins paraissent dans LâArt, LâIllustration, le Paris illustrĂ©. Il devient le collaborateur attitrĂ© du Graphic en Angleterre ou il sâattache aux scĂšnes de la vie courante. Les thĂšmes chers Ă Paul Renouard LâOpĂ©ra Lâambiance du théùtre de lâOpĂ©ra devient rapidement familiĂšre Ă Paul Renouard et est pour lui une grande source dâinspiration. LâĂ©tude de la danse notamment le passionne. Paul Renouard frĂ©quente lâOpĂ©ra pendant 18 ans et accumule croquis et notes, Ă la classe de danse, au foyer, dans les coulisses. En 1868 lâadaptation dâHamlet, puis en 1872 celle dâAĂŻda, sont pour lui une source dâĂ©tude et de dĂ©lectation inĂ©puisable. Il saisit sur le vif le public, les acteurs Ă lâOpĂ©ra de Paris et Ă Londres Théùtre Royal Drurylane et publie en 1880 un luxueux album de 30 eaux-fortes. Les expositions universelles Paul Renouard se plaĂźt Ă rendre les effets de mouvements de foules aux grandes expositions internationales. En 1889 et 1900 il collabore Ă la Revue de lâExposition universelle de Paris. Ce sont les nombreux dessins du trottoir roulant appelĂ© âRue de lâavenirâ, de la construction du Grand-Palais, du Palais de lâĂ©lectricitĂ©, les ouvriers sur la tour Eiffel, sans oublier le rhinocĂ©ros du TrocadĂ©ro rĂ©alisĂ© par Henri Jacquemart pour lâExposition universelle de 1878 et aujourdâhui sur le parvis du musĂ©e dâOrsay. Il illustre Ă©galement lâExposition universelle de LiĂšge en 1905 Ă lâoccasion du 75e anniversaire de lâindĂ©pendance de la Belgique. Les croquis dâanimaux Paul Renouard est inimitable dans ses Ă©tudes dâanimaux. Ses gravures originales consacrĂ©es aux volailles, chiens, chats, rĂ©vĂšlent ses dons dâobservateur caustique du geste et de lâexpression. Ces gravures Ă©taient probablement destinĂ©es Ă illustrer le livre intitulĂ© Croquis dâanimaux par Renouard. La guerre de 14-18 La Grande Guerre bouleverse Paul Renouard et lui inspire des dessins oĂč le rĂ©alisme saisissant est liĂ© Ă lâĂ©motion. En 1917 il rĂ©alise un album Paul Renouard, son oeuvre sur la guerre, 1914-1917, comprenant dix eaux-fortes et vingt lithographies. Il dĂ©peint notamment de saisissants portraits de groupes des âgueules cassĂ©esâ, les invalides de guerre.
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LemusĂ©e des Beaux-Arts de Tours est installĂ© dans l'ancien palais Ă©piscopal de la ville, proche de la cathĂ©drale dans le Vieux-Tours.. Un jardin Ă la française s'Ă©tend devant le palais Ă©piscopal du XVIII e siĂšcle, qui a gardĂ© une partie de son dĂ©cor d'origine. Un cĂšdre du Liban, classĂ© Arbre Remarquable de France, orne la cour du musĂ©e et on peut voir dans cette mĂȘme cour, dansl'essentiel Jusquâau 1er octobre, le musĂ©e des Beaux-Arts de Carcassonne met en lumiĂšre les femmes au travers de son exposition temporaire intitulĂ©e "Les ExceptionnâElles". Grandes oubliĂ©es de lâhistoire de lâart et dâune institution trop ancrĂ©e dans la tradition, les femmes dâhier, "si peu reprĂ©sentĂ©es mais sources dâinspiration", retrouvent peu Ă peu leurs lettres de noblesse. Muses, allĂ©gories, dĂ©esses, femmes fortes de lâHistoire, de la religion, travailleuses⊠toutes ces femmes sont propulsĂ©es sur le devant de la scĂšne du musĂ©e des Beaux-Arts de Carcassonne. Jusquâau 1er octobre, dans le cadre de son exposition temporaire intitulĂ©e "Les ExceptionnâElles", le musĂ©e carcassonnais met en valeur ces dames au travers dâĆuvres rĂ©alisĂ©es entre le XVIIIe et le XXIe siĂšcle. Des Ćuvres sorties des rĂ©serves du musĂ©e "Cette exposition met en lumiĂšre les femmes de nos collections. Nous avons sorti ces Ćuvres longtemps restĂ©es dans nos rĂ©serves par manque de place ou parce quâelles Ă©taient dans un mauvais Ă©tat, fait part Ămilie Frafil, la directrice du musĂ©e des Beaux-Arts. Il y a aussi des Ćuvres que lâon a lâhabitude de croiser dans le parcours des collections permanentes mais quâon a tendance Ă balayer du regard. LĂ , elles sont mises en Ă©vidence." LâentrĂ©e de lâexposition est consacrĂ©e aux portraits de femmes et Ă leurs apparats. Elles se prĂ©parent pour des mondanitĂ©s pour ĂȘtre portraiturĂ©es. Ă lâimage de La Femme en rouge, un tableau de 1874 signĂ© Servais Detilleux. AccoudĂ©e Ă sa coiffeuse, face Ă son miroir, cette femme, on ne la voit pas, on lâimagine. "Nous trouvons ce tableau tellement beau et intriguant. Nous nous sommes longtemps demandĂ© qui se cachait derriĂšre cette femme coquette", lance Ămilie Frafil. AprĂšs plusieurs semaines dâenquĂȘte, le rĂ©gisseur dâĆuvres du musĂ©e rĂ©ussit Ă dĂ©couvrir de qui il sâagit "CâĂ©tait une cantatrice belge qui a un temps Ă©tĂ© mariĂ©e Ă un peintre. Plus tard, elle a Ă©pousĂ© un mĂ©decin de Carcassonne. Ă la mort de son Ă©pouse, le mari a lĂ©guĂ© trois portraits dâelle au musĂ©e des Beaux-Arts et une partie de ses livres Ă la bibliothĂšque de Carcassonne". Marie Petiet, artiste peintre limouxine Dans la seconde salle, des peintures reprĂ©sentant les femmes dans la mythologie rythment le parcours. Des reprĂ©sentations de saintes et disciples, Ă©voquent Ă©galement la femme dans la religion. Sans oublier tous ces tableaux de femmes artistes ou encore de celles qui ont marquĂ© lâHistoire. Trois dâentre eux sont le fruit dâune collaboration avec le musĂ©e Petiet de Limoux. "Marie Petiet Ă©tait une artiste peintre. Il nous semblait naturel dâintĂ©grer certaines de ces Ćuvres dans notre sĂ©lection. Notamment son autoportrait", dĂ©taille la directrice. La derniĂšre salle de lâexposition temporaire est consacrĂ©e aux travaux de plusieurs Ă©coles de la ville. Des travaux on ne peut plus singuliers et colorĂ©s et, un brin anachronique. "Nous leur avons demandĂ© de rĂ©interprĂ©ter plastiquement certaines de ces ExceptionnâElles pour raconter lâHistoire Ă leur façon." iQZlOX.